hollister Procès Krombach le père de Kal

Ulcéré que le Dr Krombach continue à des jours paisibles outre-Rhin, alors qu'il était visé par un mandat d'arrêt européen, André Bamberski a organisé son enlèvement devant chez lui, en octobre 2009. La fran?aise a trouvé le médecin pieds et poings liés à un grillage proche du TGI de Mulhouse. Cet acte, qui vaut à André Bamberski des poursuites judiciaires, a permis la tenue du .
"Ma plus grande souffrance après la mort de Kalinka a été la position de la maman, qu'à ce jour je ne comprends toujours pas, a lancé M. Bamberski, lundi. Elle [Mme Gonnin] n'a participé à aucun acte d'instruction, c'est moi qui ait tout fait." Danielle Gonnin ne s'est constituée partie civile qu'en mars 2010 dans le cadre d'un supplément d'information. Lundi, elle a expliqué n' pu son premier mari dans "sa folie". "Il a d'abord dit que Kalinka avait été violée, puis avortée, que j'étais complice de Mr Krombach...", a soufflé en sanglotant à la barre cette femme au charme discret.
Gage de sa loyauté, M. Bamberski a insisté pour prêter serment avant de la parole, lundi. Sa [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] qualité de père de la victime et de partie civile l'en dispensent pourtant automatiquement. Mais le souci de la perfection atteint chez cet homme un degré presque inquiétant.
Pour – la mère de Kalinka, longtemps convaincue de l'innocence de Dieter Krombach –, M. Bamberski n'a pas eu un regard depuis l'ouverture des [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] débats. Incapable de le prénom de cette ancienne épouse qui lui avait donné deux enfants et qu'il s'est fait par le médecin allemand dans les années 1970, il l'appelle désormais "la maman".
"TOUTES LES PREUVES SONT L?"
Depuis le 4 octobre, la présidente Xavière Simeoni rappelle régulièrement M. Bamberski à l'ordre avec une exquise fermeté. "En vertu du libre droit de la à la parole, on va en bourrique, Madame la Présidente", l'a-t-il prévenue [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] la semaine passée. [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] "J'espère ces trois semaines sans changé de morphologie", a-t-elle répliqué.
A la barre, il n'a pas démordu de ce qu'il [url=http://www.ltjjjc.gov.cn/E_GuestBook.asp]moncler si[/url] soutient depuis presque toujours : "Dieter Krombach n'a pas eu de pulsion, c'est un pervers sexuel. Quand il a une proie, il ne la l?che pas, et il voulait Kalinka pour réaliser l'acte sexuel avec elle. C'était bien préparé. Et il l'a volontairement tuée parce qu'elle devait en France et qu'il avait peur qu'elle me parle."
A l'époque, des médecins légistes allemands avaient relevé sur les parties intimes de la jeune fille des substances visqueuses qui n'ont jamais été analysées. Et ses organes génitaux ont disparu. Adolescente en pleine santé, elle avait re?u du Dr Krombach, la veille [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] au [url=http://www.sxlsedu.net/mhzx/E_GuestBook.asp]woolrich K[/url] soir, en injection intraveineuse, une solution à base de fer et [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de cobalt, supposée le [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] bronzage.
"Toutes les preuves sont là pour que le Dr Krombach soit condamné à perpétuité pour le meurtre de Kalinka, qui avait moins de 15 ans", a lancé M. Bamberski à la cour, juste après.
"JE NE COMPRENDS TOUJOURS PAS LA POSITION [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] DE LA MAMAN"
SOUCI DE PERFECTION
En marge de l'audience, Me Fran?ois Gibault qui conseille André Bamberski depuis près de vingt ans, sourit. "Il conna?t le code pénal mieux que nous", estime l'avocat ?gé de 80 ans. "Mais il applique une grille de comptabilité au code pénal, tempère Me Laurent De Caunes, son autre avocat, et il est parfois dé?u, car le droit n'est pas toujours une science exacte."
"Rien n'affecte sa certitude d' raison ; sa conviction est inébranlable", a expliqué lundi Geneviève Cédile, experte-psychologue. Elle a qualifié la personnalité de M. Bamberski de "rigide". Celui-ci l'a aussit?t reprise, préférant qu'on évoque sa "rigueur". Cette rigueur l'a conduit depuis près de [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] trois décennies à tour à tour le costume de médecin urgentiste, d' de police judiciaire, de procureur et de légiste. Autant de gens qui ont gravité autour de sa défunte fille et [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] qui, selon lui, "n'ont pas fait leur travail". André Bamberski va encore plus loin. Pour lui, le Dr Krombach, aujourd'hui ?gé de 76 ans, "a bénéficié de protection".
La allemande avait classé l'affaire en 1987, mais la France avait condamné le Dr Krombach par contumace, en mars 1995, à quinze ans de réclusion pour "violences volontaires ayant entra?né la mort sans intention de la donner" sur Kalinka.
Toutes ces années, André Bamberski a pisté Dieter Krombach au gré de ses déménagements, distribuant parfois des tracts alléguant sa culpabilité dans les villes où il s'était installé. "Sa douleur d' perdu son enfant s'est transformée en haine", a estimé , fils quadragénaire du médecin allemand, à la barre la semaine passée.
à Lindau (Bavière) – [url=http://home.exound.com:81/home.php?mod=space&uid=397311][/url] ne le quitte jamais. Et, convaincu que ce dernier a violé et tué sa fille, André Bamberski n'a eu de cesse de le aux assises.
L'ENL?VEMENT DE KROMBACH A PERMIS LA TENUE DU PROC?S
Lundi, Mme Simeoni s'est enquise auprès de l'experte-psychologue des conséquences pour M. Bamberski de ce procès qu'il a voulu si fort. "Si le verdict va dans le sens de ce qu'il attend, cela lui permettra [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] de [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] le deuil de cette enfant", a déclaré Geneviève Cédile.
Au fil des ans, André Bamberski est devenu un redoutable procédurier. "Mes avocats m'assistent, mais ne me représentent pas, avait-il lancé jeudi 13 octobre. Ils ne parlent que quand je leur demande. (...) Et quand je lève le doigt, c'est pour gagner du temps à la cour."