moncler outlet Vingt-deux ans après, Francis Hust

La diction de Francis Huster est impeccable, comme sa capacité à d'un personnage à l'autre. Mais l'émotion lui souffle des emportements [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]jordan pas cher La consommati[/url] inutiles, et il va trop vite [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pour que La Peste fasse vraiment son chemin. Il faut qu'il faisait très chaud, aux Mathurins, mardi 16 ao?t. Pour le public, c'était dur. Pour le comédien, placé sous le feu des projecteurs, on n'ose pas .La Peste.

Adaptation, mise en scène et jeu : Francis Huster. Thé?tre des Mathurins, 36, [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister uk[/url] rue des Mathurins, Paris 8e. M°Havre-Caumartin. [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] Tél. : 01-42-65- 90-00. Du mardi au samedi, à 19 [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] heures ; dimanche, à 15 heures. De 20 ? à 37 ?. Durée : 1 heure. Jusqu'au 2 octobre. Theatredesmathurins.com
L'acteur fait tout : adaptation, mise en scène, jeu. Il est le narrateur de La Peste, dont l'action se situe à Oran, dans les années 1940, mais pourrait lieu n'importe où dans le monde, à chacune de ces époques où la graine de ce que l'on appelle par raccourci le fascisme entre dans le coeur d'un peuple, comme entrent dans la ville les rats porteurs de la peste.
revient à La Peste, le roman d' qui [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] lui tient le plus à coeur. L'acteur a commencé à le il y a vingt-deux ans. Depuis, il l'a repris, en France et à l'étranger, plus de 700 [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] fois. Le succès ne se dément pas. Mardi 16 ao?t, le Thé?tre des Mathurins était plein, pour la première d'une nouvelle série [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de représentations. Certes, la salle est modeste (386 places). Certes, il n'y a pas grand-chose à à Paris. Mais cela compte peu : Francis Huster a un public qui l'adule, le suit depuis des lustres et rassemble beaucoup [url=http://cgi.www5f.biglobe.ne.jp/~sterke-wind/joyful/joyful.cgi]hollister sale Merci les rich[/url] de gens de son ?ge (63 ans). C'est cela aussi, le thé?tre : ensemble.
Publié en 1947, l'année de la naissance d'Huster, le roman de Camus - qui a beaucoup compté dans l'attribution du de littérature à l'auteur, le 16 octobre 1957 - n'a rien [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler-homme/]doudoune moncler homme[/url] perdu de sa force d'attraction.
Pourtant, la représentation laisse un peu sur sa faim. Peut-être faut-il le sur le compte du , vivace, de la première fois où Huster [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] a joué La [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Peste, en 1989 ? On était pris dans un mouvement, où, à travers les [url=http://www.px.tsukuba.ac.jp/home/tcm/kyoshida/cgi-bin/postmail.cgi]hollister sale Les deux leade[/url] personnages du roman, s'alliaient les sentiments de la traversée d'une épreuve collective et . C'était un peu comme dans la chanson de Reggiani, Les loups sont entrés dans Paris. Aujourd'hui, le spectacle est proche des Feuilles mortes, chantées par Montand, qu'on entend à la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] fin [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] : plus sentimental et plus étale.
La première fois qu'il a joué La Peste, en 1989, Francis Huster était au Thé?tre de la porte Saint-Martin. Une grande salle, un grand plateau nu, qu'il occupait de sa seule présence. Au Thé?tre des Mathurins, l'acteur joue devant le rideau de fer, peint aux couleurs d'une station de métro nommée "Albert Camus", qui affiche des publicités anciennes, dont une pour la DS de Citro?n, taguées par un sigle de l'OAS (Organisation secrète), fer de lance de l' fran?aise. Francis Huster arrive par la salle dans cette station de métro, où deux bancs de bois accueillent sa silhouette des années 1960, en costume noir.
Plus sentimental