barbour Le cas syrien dilemmes et marges de man

Face à la complexité extrême du cas syrien en revanche, il faut réfléchir à deux fois pour même le souhaitable?: que pour fin aux violences commises, sans les et sans déstabiliser [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] plus largement la région?? L'argument selon lequel le régime de Damas est "rattrapable" n'a plus cours aujourd'hui en , comme l'indiquent les propos récents d'Alain Juppé (26 juin), ou les pressions exercées par l' (UE) sur Damas et ses alliés iraniens. Une ligne a bien été franchie, et nous sommes loin de l'époque où Henry Kissinger admirait le cynisme calculé de Hafez Al-Assad, figure de l'ennemi prévisible, donc rassurant. Pour autant, passé ce constat, les solutions ne tombent pas du [url=http://yqcyx.com/forum.php?mod=viewthread&tid=559834&fromuid=1927]peuterey outlet Ménage à trois (ou quatre), par Sylvain Cypel[/url] ciel – si l'ont peut . Et chacun sait qu'une réponse simpliste apportée à une question complexe met en danger à la fois les populations et la stabilité régionale, comme la guerre néoconservatrice en en fit la funeste démonstration.
en et pas en (où l'on compterait déjà plus de 1 600 morts à l'heure où ces lignes sont [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] écrites)?? Y a-t-il deux poids et deux mesures?? L'importance de l'enjeu pétrolier ici, sa quasi absence là, expliquent-elles, comme on l'entend parfois, la différence de traitement?? Au-delà de la polémique, en réalité, l'affaire syrienne impose plusieurs rappels.
Nous en arrivons là à un deuxième rappel?: le temps des solutions universelles, en la matière, est révolu, et chaque cas de figure doit être abordé dans sa spécificité. Pour la France, la Syrie n'est naturellement pas la Libye. Tout comme pour les Etats-Unis, n'était pas l'. Il en va de même pour la Grande-, autre acteur majeur de l'intervention libyenne avec Paris. Nous serions donc bien en [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] peine de aujourd'hui, face aux [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] révolutions arabes, une nouvelle "doctrine Powell" régionale, [url=http://www.frbiz.com/products/j-37177487/ipad_cover_cgi_005.html]hollister france Le Théorème[/url] une quelconque règle d'engagement, une " arabe" généraliste, qui fonctionnerait quel que soit le cas de figure.
Elle nous remémore en premier lieu, avec , que les relations internationales demeurent un arbitrage difficile entre éthique de conviction et éthique de responsabilité. C'est-à-dire un équilibre entre intérêts et moyens, entre souhaitables [url=http://www.paralympic.org/spam/denied]abercrombie Comment réduire son budget ski cet hiver[/url] et possibles, départagés chaque fois par ce concept incontournable que l'on nomme "marge de man?uvre". Face à certains événements internationaux, nous savons quels sont les intérêts à défendre, mais les moyens pour les manquent.
Le temps est aux approches affinées, pas aux appréciations d'ensemble. La capacité de nuisance et de déstabilisation [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] de l'acteur syrien à l'échelle régionale impose une analyse minutieuse, et cela n'est pas scandaleux. Les mouvements de l' syrienne près de la frontière turque, son offensive à Kseir près de la frontière libanaise, les craintes de d'armes du Hezbollah vers le pays du cèdre, les liens de Damas avec Téhéran, son jeu irakien, sont autant d'éléments que [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] l'on ne retrouve pas dans le cas libyen, même si le colonel Kadhafi dispose lui aussi, ailleurs, d'un de déstabilisation. Au jeu bien tragique de cette comparaison, si [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] l'impératif moral est le même, l'environnement politique diffère, autant que les paramètres militaires (auxquels il faut la sociologie très spécifique des forces de coercition syriennes, et le r?le qui y est joué par la minorité alaouite, solidaire du ). La réponse aux deux processus saurait donc difficilement être identique.
Troisième rappel enfin?: ces constats embarrassent bien au-delà des seules diplomaties occidentales. La prudence du monde arabe, même dans les capitales qui ont déjà connu une révolution victorieuse, a été notée par de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] nombreux observateurs. Les hésitations d' face au "cas" Al-Assad, l'irritation croissante d'Ankara qui n'a pourtant pas [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] ménagé ses efforts pour Damas de ce mauvais pas, sont d'autres illustrations de la complexité de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] cette situation. C'est là une différence supplémentaire avec le dossier libyen?tel qu'il se présentait au début de l'intervention?: il ne se trouve pas d'accord large pour apprécier la [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] situation, et les efforts fran?ais pour y remédier, aux Nations unies, se sont heurtés comme on le sait à la double résistance russe et chinoise.
Aujourd'hui, la condamnation morale s'impose, la marginalisation politique du régime de Damas, pour l'heure, est actée, et l'intervention politique est en cours?: elle a lieu aux Nations unies à l'initiative de la France entre autres, et auprès du régime damascène lui-même, par d'autres acteurs comme la . Elle n'a pas encore été fructueuse, et c'est en cela que la question militaire se pose. Mais [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] elle ne se pose pas hors du monde, sur le seul plan du principe?: c'est bien là que l'on retrouve l'éthique de responsabilité.