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Politiquement, l'effet des accusations contre le camp d'Alassane Ouattara, [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] considéré à l'extérieur [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] comme le président légitime, pourrait être dévastateur. "?a risque de le discréditer", s'inquiète une source onusienne. "?a va le suivre", prédit [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] un humanitaire.
DE 330 ? UN MILLIER DE MORTS
Sans que le "Grand Ouest" conna?t depuis des années des violences intercommunautaires. S'opposent d'un c?té les autochtones d'ethnie guéré (réputés pro-Gbagbo) et de l'autre les Ivoiriens du Nord et les Ouest-Africains, considérés comme pro-Ouattara, sur fond de conflits fonciers dans cette grande région cacaoyère.
"PAS UNE SURPRISE"
Lundi 28 mars 2011, au lancement d'une offensive sur le sud qui les a conduits en quelques jours jusqu'aux bastions [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] du président sortant à Abidjan, les Forces républicaines (FRCI, pro-Ouattara) ont attaqué [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] Duékoué, carrefour stratégique de l'ouest. Après [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de très durs combats, la ville est tombée le lendemain aux mains des FRCI. Mais le vendredi 1er avril [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] au soir, le Comité de la Croix-Rouge (CICR) a créé un choc en annon?ant, sur la base d'informations recueillies sur place, qu'"au moins 800 personnes" avaient été tuées à Duékoué dans cette seule journée. Il évoquait sans plus de précision des "violences intercommunautaires".
La Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) a "confirmé l'existence de massacres dans la ville de Duékoué", mais selon elle le total de "plus de 800 personnes exécutées" correspond aux exactions de quatre mois de crise post-électorale. "Nous avons des retours réguliers de nos sources que les exécutions se poursuivent", a souligné un responsable du bureau de la FIDH, .
"Laurent Gbagbo avait plus de 800 mercenaires libériens et miliciens, souvent des jeunes de la région", s'est défendue la porte-parole d'Alassane Ouattara, . En effet, [url=http://www.txzyk.com/home.php?mod=space&uid=8707][/url] de nombreux témoignages ont fait état de tueries commises par des mercenaires libériens et des miliciens [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] pro-Gbagbo dans la région au long de la crise post-électorale. A [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] Duékoué, l'Onuci a d'ailleurs indiqué découvert un puits dans le QG d'un chef milicien contenant "beaucoup de corps".
L'ONG catholique Caritas a de son c?té fait état d'"un millier" de tués ou de disparus, mais n'a pas désigné non plus de responsables. Seule l'Opération de l'ONU en (Onuci), qui reconna?t Alassane [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] Ouattara comme président et assure même la protection de [url=http://www.qzmuseum.net/Review.asp?NewsID=139]Pour Fran ois Fillon, lEtat est dans une situation critique [/url] son QG du h?tel, a clairement accusé ses troupes. Si son premier bilan, qui devrait être revu à la hausse après l' en cours, évoque "330 [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]www.teatrodeoro.com/hollisterde.php[/url] morts" entre le lundi 28 et mercredi 30 mars, dont 100 tués par des "mercenaires pro-Gbagbo", l'Onuci a affirmé que "la plupart" des victimes ont été "exécutées par les 'dozos' (chasseurs traditionnels du nord, ndlr) des FRCI".
doit se défendre de graves accusations de massacres dans l'ouest du pays, et notamment à Duékoué. Mises en cause par l'ONU, les forces du président reconnu par la communauté internationale assurent, elles, n' tué que "des miliciens et pas des civils".
L'horreur des derniers jours dans la zone n'est cependant "pas une surprise", souligne , de l'organisation Group (ICG). La région [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] a été [url=http://www.nsl.co.jp/jinzai/postmail.cgi]hollister france How To Preve[/url] "infectée par la guerre civile au Liberia" voisin (1989-2003), rappelle-t-il. Des mercenaires libériens ont été recrutés par le camp Gbagbo et les rebelles (qui forment à présent le gros des FRCI) lors des combats de 2002-2003 qui ont abouti à la partition Nord-Sud de la C?te d'Ivoire.